De l’utilité d’une galerie

La Galerie CHAPPAZ va bientôt fêter ses 10 ans – 20 ans – 30 ans…

A Marseille d’abord puis à Chambéry, Fondation du Bocage et enfin à Trévignin, à la campagne.

Suffisamment d’existence et d’expositions réalisées pour que se dessine une ligne, un esprit.

Il n’existe pas d’école en la matière, chaque marchand doit « inventer » son métier, sa galerie, ses peintres.

Une certitude: offrir aux artistes éloignés des circuits officiels un espace d’expression qui leur fait défaut. En effet, l’institution fonctionne en circuit plutôt fermé générant ses propres artistes, favorisant les nouveaux médias au détriment de la peinture.

Cette certitude provient d’un sentiment très personnel de ce que peut apporter l’art et la peinture en particulier, à celui qui le contemple.

C’est cela que je veux donner au public et aux visiteurs.

Les peintres apprécient que leurs amis et leur entourage les encouragent mais ils ont surtout besoin d’un regard extérieur et professionnel.

Expositions d’art moderne qui m’ont appris, au fil du temps à connaître les « racines » de notre regard sur la peinture.

Expositions thématiques permettant la confrontation des oeuvres d’artistes vivants et disparus, créant un véritable dialogue entre passé et présent.

Expositions d’artistes déjà reconnus ou simplement confirmés. La Galerie est une nécessité car un rapport de conversation et d’éducation subsiste entre le marchand et l’acheteur, créant une alchimie profitable à l’oeuvre, à l’artiste, au marchand et à l’acheteur.

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